Marina Luz, d'une certaine manière on ne s'est pas rencontrés, mais nous connaissons tous deux l'Indien, c'est donc comme une presque-rencontre avec toi. Sans bien savoir pourquoi, ou en le sachant très bien, je ne saurai te dire autre chose qu'à bientôt...
La mélomane, l'espagnole, la curieuse, l'indienne, la punk, la bavarde, la désespérément optimiste, la mélancolique te disent: gracias y hasta pronto en los bares. Besos
RépondreSupprimer